Jean-Michel Arnaud, président de Metro France, a dénoncé dans un communiqué les blocages successifs de son imprimerie qui ont mené à la non-parution du journal.
«Ces trois journées sans parution se traduisent par une perte sèche de plusieurs centaines de milliers d’euros», explique-t-il. Selon lui, cette situation crée une distorsion de concurrence avec les autres quotidiens gratuits qui sont imprimés dans des imprimeries de labeur, non concernées par ces journées d’action.